Un jour ou l'autre il faut bien payer le loyer, la laverie automatique et de quoi manger un peu. Alors, Richard Warren, l'homme qui se cache derrière le pseudo Echoboy a fini par mettre de la pop dans ses disques.
Après trois albums à la volition expérimentale, difficilement classables grâce à la disparité des genres abordés, Echoboy recentre sa musique sur des motifs plus identifiables. Giraffe est une collection de chansons dont la matière reste certes aventureuse, mais dont les structures deviennent plus abordables.
Accuser Richard Warren de faire un disque commercial pour pouvoir manger comme je l'affirmais en ouverture n'est peut-être pas bien raisonnable cependant. Ici, les angles ne sont pas polis, le son est froid comme du Joy Division, la rythmique métronomique comme chez New Order, la mélodie, si elle est constamment présente, n'est pas racoleuse (seul Lately Lonely peut se laisser fredonner sous une douche (froide of course)). Ce disque est donc une évolution d'Echoboy vers un public plus large mais pas pour autant un album qui vise le grand public. Warren mangera peut-être plus grâce à Giraffe. Mais pas beaucoup mieux et pas à s'en faire péter la panse.
Quant à ce que je pense de Giraffe, si toutefois ça intéresse quelqu'un... un disque à propos duquel on cite Joy Division et New Order ne pourra jamais avoir une très grosse cote chez moi... Trois étoiles et demie, c'est déjà peut-être plus que je ne devrais lui accorder. Les fans des groupes précités pourraient bien monter jusqu'à cinq. Il faudra le leur demander...
Après trois albums à la volition expérimentale, difficilement classables grâce à la disparité des genres abordés, Echoboy recentre sa musique sur des motifs plus identifiables. Giraffe est une collection de chansons dont la matière reste certes aventureuse, mais dont les structures deviennent plus abordables.
Accuser Richard Warren de faire un disque commercial pour pouvoir manger comme je l'affirmais en ouverture n'est peut-être pas bien raisonnable cependant. Ici, les angles ne sont pas polis, le son est froid comme du Joy Division, la rythmique métronomique comme chez New Order, la mélodie, si elle est constamment présente, n'est pas racoleuse (seul Lately Lonely peut se laisser fredonner sous une douche (froide of course)). Ce disque est donc une évolution d'Echoboy vers un public plus large mais pas pour autant un album qui vise le grand public. Warren mangera peut-être plus grâce à Giraffe. Mais pas beaucoup mieux et pas à s'en faire péter la panse.
Quant à ce que je pense de Giraffe, si toutefois ça intéresse quelqu'un... un disque à propos duquel on cite Joy Division et New Order ne pourra jamais avoir une très grosse cote chez moi... Trois étoiles et demie, c'est déjà peut-être plus que je ne devrais lui accorder. Les fans des groupes précités pourraient bien monter jusqu'à cinq. Il faudra le leur demander...
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jeu du jour (1 point) : qui est ce monsieur ? --> Neil Young en 1974 et non Gaz Coombes (ressemblance troublante, il est vrai)
10 commentaires:
Neil Young
NEIL YOUNG
Les rouflaquettes appartiennent à Neil Young.
Neil Young (victime de la mode)
J'ai failli dire Gaz Coombes, le roi de la rouflaquette mais celles de Neil Young sont plus belles !
Bon manifestement c'est Neil Young et je découvre grâce à cette photo qu'il est le père du chanteur de Supergrass.
C'est un piège ?
YA un truc ?
C'est Neil Young.
Peut-être Gaz COOMBES, le chanteur/guitariste de SUPERGRASS ?
Il s'agit de Gaz Coombes de Supergrass
Anton Newcombe ?
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