Back To Earth est sorti en 1998, juste quand le monde de la musique commençait à en avoir marre de souper du trip-hop à toutes les sauces. Des trios avec deux musiciens et une chanteuse, il n'y avait que ça à l'époque. Morcheeba, Archive, Portishead ou Smoke City pour ne citer que ceux auxquels je pense à l'instant. Ekova, classé abusivement dans cette catégorie a du souffrir de venir à la fin du mouvement et de partager ce line-up typique.
Peu de choses à voir pourtant entre Back To Earth et les albums des groupes précités. Ce disque propose un étonnant mélange de genres : musique orientale, musique médiévale, musique celtique, électro, un véritable kaléidoscope d'influences qui, pour tout dire, perd un peu l'auditeur mais dépayse sacrément.
Le groupe a été fondée par une violoncelliste (et chanteuse) américaine qui s'est entourée d'un percussionniste/clarinettiste iranien et d'un oudiste algérien. Le groupe est considéré comme français puisque basé en France. La musique qui résulte d'une telle association de personnes et d'influences doit être difficile à imaginer. Le plus simple est encore d'aller écouter par soi-même, non ? Rappelons toutefois que les amateurs de "fusion mondiale" y trouveront beaucoup plus leur compte que les fans d'électro et de trip-hop...
PS : il va sans dire que les quatre étoiles attribuées par moi à ce disque ne reflètent pas la qualité intrinsèque du disque mais le plaisir que je prends à l'écouter. Autrement dit : ce disque mérite peut-être plus que ces quatre malheureuses étoiles.
à écouter sur spotify
Peu de choses à voir pourtant entre Back To Earth et les albums des groupes précités. Ce disque propose un étonnant mélange de genres : musique orientale, musique médiévale, musique celtique, électro, un véritable kaléidoscope d'influences qui, pour tout dire, perd un peu l'auditeur mais dépayse sacrément.
Le groupe a été fondée par une violoncelliste (et chanteuse) américaine qui s'est entourée d'un percussionniste/clarinettiste iranien et d'un oudiste algérien. Le groupe est considéré comme français puisque basé en France. La musique qui résulte d'une telle association de personnes et d'influences doit être difficile à imaginer. Le plus simple est encore d'aller écouter par soi-même, non ? Rappelons toutefois que les amateurs de "fusion mondiale" y trouveront beaucoup plus leur compte que les fans d'électro et de trip-hop...
PS : il va sans dire que les quatre étoiles attribuées par moi à ce disque ne reflètent pas la qualité intrinsèque du disque mais le plaisir que je prends à l'écouter. Autrement dit : ce disque mérite peut-être plus que ces quatre malheureuses étoiles.
à écouter sur spotify
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J'aimais bien! Même beaucoup!
RépondreSupprimerJe ne sais ce que donnerait une réécoute!
;-)
J'ai été un peu déçu à la réécoute, moi. J'avais gardé le souvenir d'une musique plus envoûtante que ce que j'ai entendu aujourd'hui.
RépondreSupprimerC'est Johnny Marr !
RépondreSupprimerEnvoutant, c'est la mot que j'aurais aussi utilisé par souvenir.
RépondreSupprimerAlors, je ne réécoute pas!
:-DD
Johnny Marr,ex-Smiths et qui fait actuellement le guignol avec les Cribs
RépondreSupprimerjohnny marr
RépondreSupprimerJohnny Marr
RépondreSupprimerJohnny Marr (athon d'avril???)
RépondreSupprimerTrop facile, Johnny Marr !
RépondreSupprimerHello Cooulbeans (ça te plait les disques que je t'ai proposés pour le marathon ?)
RépondreSupprimerAlors le monsieur qui est en photo a déjà l'excellent goût de jouer sur une rickenbacker. Et aussi celui d'avoir supporté le Moz.
C'est Johnny Marr.
c'est Johnny Marr le monsieur à la guitare.
RépondreSupprimerEkova, je les ai vu en concert à Marseille dans une petite salle ; c'était très très bien
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