Il y a des soirs comme ça où rien ne vient naturellement. Trois quarts d'heure déjà que je m'escrime à rédiger un texte à propos de cet album de Matt Elliott. Et à l'instant, à la relecture, je viens de comprendre que ça ne valait pas tripette.
Pourtant, le thème semblait porteur : j'avais l'intention de montrer que le parcours discographique d'un musicien n'est rien moins que le reflet de sa quête de lui-même et de son évolution psychologique.
Je voulais vous dire qu'en commençant au sein de deux groupes cultes de la scène post-rock bristolienne au début des années 90 (Movietone et Flying Saucer Attack), Matt Elliott avait tout d'abord connu une période d'initiation, d'apprentissage. Puis que lorsqu'il s'était senti prêt, il avait fondé son premier groupe, Linda's Strange Vacation, avec deux membres des deux groupes précités. Histoire de donner vie à quelques idées de compositions et de productions qui devaient lui trotter dans la tête. Puis que vite à l'étroit dans le carcan que devait être pour lui ce groupe, il avait monté son propre projet, The Third Eye Foundation. Qu'il avait enregistré sous ce nom pendant sept ans. Puis qu'il avait décidé de ne plus se cacher derrière un alias et d'enregistrer à partir de là sous son nom.
Là, je dégoisais allègrement sur le fait que c'est normal, qu'un homme prend confiance en lui, en ses idées, et qu'il apprend à ne plus se cacher et à assumer ses paroles et ses actes. Bon, ça n'était pas super intéressant cette partie là.
Après je vous disais qu'on est tous comme ça. Là, ça devenait carrément chiant, voire pontifiant.
Je finissais par vous dire dans une phrase longue comme le bras que The Mess We Made est le premier album de Matt Elliott sous son vrai nom et que c'est donc l'album où il commence à se dévoiler vraiment. Et que c'était l'album qui annonçait les très bons albums qui sortiraient ensuite. Tout ça en une seule phrase. C'était vraiment trop long.
Voyez, vous avez echappé à un post des plus saoulants.
Heureusement, avec un peu de chance, je serai plus en forme demain. Ou pas.
à écouter sur spotify
Pourtant, le thème semblait porteur : j'avais l'intention de montrer que le parcours discographique d'un musicien n'est rien moins que le reflet de sa quête de lui-même et de son évolution psychologique.
Je voulais vous dire qu'en commençant au sein de deux groupes cultes de la scène post-rock bristolienne au début des années 90 (Movietone et Flying Saucer Attack), Matt Elliott avait tout d'abord connu une période d'initiation, d'apprentissage. Puis que lorsqu'il s'était senti prêt, il avait fondé son premier groupe, Linda's Strange Vacation, avec deux membres des deux groupes précités. Histoire de donner vie à quelques idées de compositions et de productions qui devaient lui trotter dans la tête. Puis que vite à l'étroit dans le carcan que devait être pour lui ce groupe, il avait monté son propre projet, The Third Eye Foundation. Qu'il avait enregistré sous ce nom pendant sept ans. Puis qu'il avait décidé de ne plus se cacher derrière un alias et d'enregistrer à partir de là sous son nom.
Là, je dégoisais allègrement sur le fait que c'est normal, qu'un homme prend confiance en lui, en ses idées, et qu'il apprend à ne plus se cacher et à assumer ses paroles et ses actes. Bon, ça n'était pas super intéressant cette partie là.
Après je vous disais qu'on est tous comme ça. Là, ça devenait carrément chiant, voire pontifiant.
Je finissais par vous dire dans une phrase longue comme le bras que The Mess We Made est le premier album de Matt Elliott sous son vrai nom et que c'est donc l'album où il commence à se dévoiler vraiment. Et que c'était l'album qui annonçait les très bons albums qui sortiraient ensuite. Tout ça en une seule phrase. C'était vraiment trop long.
Voyez, vous avez echappé à un post des plus saoulants.
Heureusement, avec un peu de chance, je serai plus en forme demain. Ou pas.
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